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Notice descriptive

Archives privées. Comité central français pour l'Outre-Mer (CCFOM)

  • Archives privées. Comité central français pour l'Outre-Mer (CCFOM)
    • Présentation du contenu

      Complètes et homogènes, Les archives du Comité central français pour l'Outre-mer sont un exemple d'archives d'association bien conservées.Outre les documents communs à toute forme d'association, tels dossiers statutaires, adhésions et cotisations, documents comptables, procès-verbaux des séances des conseils et des assemblées, correspondance à l'arrivée, on trouve des dossiers d'étude émanant des responsables des différents échelons hiérarchiques.Les registres de procès-verbaux des séances que tinrent les diverses instances dirigeantes et consultatives au sein de chaque organisation, remarquablement conservés et pratiquement sans lacunes contiennent la transcription d'un discours colonial qui reste sans équivalent.Une part importante de ces archives est formée de dossiers d'affaires et de dossiers documentaires issus directement des activités ordinaires des associations et des actions particulières engagées par chacune d'entre elles.

    • Présentation du producteur

      Le Comité central français pour l'outre-mer (CCFOM) fut le dernier avatar de l'une des plus anciennes et des plus prestigieuses associations coloniales de la Troisième République : l'Union coloniale française.L'Union coloniale et d'autres associations coloniales, principalement le Comité du commerce, de l'industrie et de l'agriculture de l'Indochine et l'Institut colonial français ayant fusionné en 1943, ce Comité prit en 1967 le nom de Comité du rayonnement français, organisme à vocation culturelle francophone proche de l'Alliance française.

    • Historique de la conservation

      C'est sur l'initiative de Georges Riond, ancien vice-président de l'Assemblée de l'Union française et dernier président du CCFOM, que l'on doit la sauvegarde de ces papiers qui furent confiés en octobre 1965 aux Archives nationales et pris en charge par la Section outre-mer encore installée à cette époque à Paris, rue Oudinot, dans les locaux de l'ancien ministère des Colonies. Dans le même temps, Georges Riond faisait remettre l'essentiel de la bibliothèque du CCFOM à la Direction de la documentation française où cet ensemble exceptionnel vint s'intégrer à la Bibliothèque d'Afrique et d'Outre-mer.

    • Mode de classement

      Versés sans ordre et en liasses non identifiées, ces papiers firent d'abord l'objet d'un long travail d'inventaire entrepris par Élisabeth Rabut, conservateur en poste à la Section outre-mer ; ce travail fut achevé en 1986, peu de temps avant le transfert des fonds ministériels de la rue Oudinot vers Aix-en-Provence. Une masse d'environ six cents cartons et registres occupant 90 mètres linéaires de rayonnage avait pu être inventoriée et conditionnée.En 1993 fut entrepris sous la direction d'Élisabeth Rabut, conservateur général chargé du CAOM le classement définitif du fonds en vue de la rédaction d'un véritable instrument de recherche. Les archives de chacune des associations constitutives du Comité de l'Empire français ayant été identifiées, elles ont été classées séparément suivant des règles identiques mais respectant les particularismes de chaque institution et dans l'ordre chronologique de création de chacune des associations.

Pour aller plus loin

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